BULA ! Bienvenue aux FIDJI !

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Les Fidji, avec ses archipels parsemés de lagons éblouissants et de coraux fluorescents ont toujours fait partie de ma liste des destinations à voir absolument, et ce malgré le fait qu’il s’agisse d’un des lieux les plus visités des îles du Pacifique. J’étais donc consciente d’arriver dans un endroit au tourisme surdéveloppé, mais avec un peu de préparation j’ai pu passer un merveilleux séjour dans mon petit coin de paradis terrestre!

La première étape quand on décider d’aller aux Fidji, c’est de choisir une île. En effet, les Fidji c’est plus de 300 îles habitées, toutes plus attirantes les unes que les autres, hé oui rien que ça! Il y en a vraiment pour tous les goûts. Viti Levu est la plus grande. C’est là que se trouvent les deux aéroports et les hôtels abordables, ce qui représente une option viable pour les budgets serrés.

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La capitale touristique de Viti Levu est Nadi, proche de l’aéroport international. En sortant du terminal, j’ai pu faire le trajet avec un local qui m’a coûté 3 à 4 fois moins cher qu’avec un taxi régulier, et qui m’a fait faire en prime un petit tour du marché de Nadi, où j’ai pu acheter un maximum de denrées avant d’embarquer pour mon île à moi.

Comme je vous disais, la majorité des hébergements pas chers des Fidji se trouvent sur Viti Levu, à Nadi notamment, et en traversant la ville on comprend très vite pourquoi. De nombreux complexes hôteliers réservés occupent la totalité de la côte, dénaturant totalement le paysage et les plages, qui sont bien loin des cartes postales qu’on imagine en pensant au Fidji. J’ai passé une nuit à Nadi avant de reprendre mon avion et je suis bien contente de ne pas avoir passé mon séjour las bas. J’aurais vraiment été déçue.

Que faire à Nadi ? Une promenade pour une immersion dans le « vrai » Fidji, et le plein de courses au marché pour bénéficier des tarifs locaux avant d’embarquer pour votre île où les prix flambent (5$ pour une bouteille d’eau!).

Mana Island : Plages de sable fins & Infinity pool

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Pour ma part j’ai choisi l’archipel des Mamamuca, dont j’avais lu le plus grand bien : sable blanc et lagons bleu sont en effet des mots-clés qui me parlent!
J’ai choisi mon île en lisant pas mal d’article sur le web mais aussi en suivant le lonely, mon choix final se portant finalement sur celle avec les meilleurs deals sur le logements. J’ai donc atterri au Mana island resort qui se situe 30 km à l’ouest du port principal Viti Levu, Denarau.

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Mana island est divisé en quatre: une partie est occupé par le resort, la seconde par un hotel backpacker et une école de plongée. la troisième par le village local dont la moitié est employée par le resort, la dernière partie est de l’île étant la plus préservée, encore à l’état naturel.

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À l’arrivée, j’ai eu droit au comité d’accueil d’un groupe de Fidjiens chantant l’hymne de l’île, accompagnés au Ukulélé, puis après le check-in dans mon bugalow j’ai fait une petite marche pour découvrir l’île et voir le coucher de soleil. Sur la route je suis tombée sur un tarmac, ou plutôt un champ qui sert de tarmac, à côté duquel des locaux  jouaient au rugby.

J’ai passé les trois jours suivants sur l’île, interrompant mon bullage intensif uniquement pour faire du snorkeling, dormir, explorer l’île et sortir du resort. J’ai d’ailleurs trouvé la séparation entre les endroits un peu ridicule. Le resort étant une propriété privée, il est encerclé par un grillage, et il est « déconseillé » d’en sortir.

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Cela étant dit, un peu de luxe ca fait du bien. Je dois avouer qu’après des semaines à dormir dans un van en Nouvelle-Zélande, j’ai apprécié le site paradisiaque du Mana resort et les journées passées à barboter dans le lagon. Le souvenir le plus mémorable de cette expérience restera le snorkeling sur des coraux fluorescents rappelant Avatar et des fonds marins d’une richesse incroyable.

Où dormir ?

Mana island resort: twin room à partir de 150$/nuit (prix réguliers )
Ratu-kini-backpackers: Dorm à partir de 18$/nuit,  twin room à partir de 85$ (prix réguliers )

Où manger ?
Ratu-kini-backpackers : salade, burgers, plats locaux & animation selon les soirs.

Comment se déplacer ?
Nadi international airport : 20$ local taxi
Port Denarau /Mana Island : 74$USD ( 1way) ( 1H15)

 

 Et vous quelle île allez vous choisir ? 🙂

 

A la découverte des Îles Perhentian en Malaisie

05 Août 2015 0 No tags Permalink

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Quand j’ai Googlé « Îles Perhentian » je n’ai pas hésité une seconde à prendre mon billet de bus. J’étais à Cameron Highland et ma maison d’hôte Father’s Guesthouse organisait des transferts par mini bus.
Après 5h de mini bus où je me suis concentrée pour ne pas vomir sur ma voisine, je suis arrivée à la jetée de Kuala Besut.

C’est de là que partent les ferrys pour Les îles Perethian. Tous les voyageurs sont tenus de s’affranchir d’une taxe de « conservation marine » de 5 Malaysian ringgit. Il faut savoir aussi qu’il n y a pas de distributeur sur les îles. Pensez donc à faire le plein avant de partir.

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Arrivée à Coral Bay 

Les deux plus grandes îles sont Pulau Besar, et Pulau Kecil, j’ai choisi Kecil pour une simple raison d’économie. En effet les logements sont relativement moins chers que sur Pulau Besar. De Kuala Besut à Kécil il faut compter 40 min de ferry/barque Malheureusement, la météo n’était pas de mon côté ce jour là…

Long Beach

J’ai séjourné au Matahari chalet sur Long beach dans un petit bungalow équipé d’un ventilateur et d’une très utile moustiquaire. Bon à savoir : l’électricité fonctionne de 19h à 10h le matin. Cela ne m’a pas dérangé plus que ca dans la mesure où j’avais une île à découvrir.

 

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Ma première rencontre avec le voisinage a été un peu effrayante, mais  je m’y suis fait, ils n’étaient pas méchants.

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Long Beach c’est la plage la plus animée, il y a pas mal de bars qui ferment tard et de nombreux restaurants. Compte tenu de la pluie des jours précédents, je n’ai pas eu la chance de voir Long beach claire et cristalline et je n’ai pas osé rentrer dans l’eau, bien trop agitée ! Mais cela n’enlevait rien à la beauté du tableau. longbeach

Le seul Bémol de Long Beach, c’est la saleté des lieux, beaucoup de poubelles en décomposition et de débris. J’ai discuté avec une locale qui m’a vu prendre des photos, elle m’a expliqué que l’île avait régulièrement des problèmes d’accumulation de déchets. J’imagine que le mauvais temps et l’accès difficile à la plage a rendu le ramassage des ordures difficile, mais quand même, il y a beaucoup de débris.

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 Betani Beach : un petit coin de paradis

Le surlendemain je me suis rendue du côté de Coral bay, j’ai erré un petit moment en quête d’une plage paisible. Après 20 minutes de marche je suis tombée sur une petite crique où j’ai d’ailleurs réalisé mon premier défi 😉 ! Mais je n’étais pas au bout de mes découvertes… J’ai pensé pouvoir continuer le chemin afin de rejoindre Long Beach. Fausse bonne idée. Mon sens de l’orientation déplorable m’a conduit vers une toute autre destination mais pas moins paradisiaque. J’ai découvert Betani beach, un petit bijoux de plage !

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Le restaurant de la plage est tenu par une famille vraiment accueillante, ils proposent une carte locale, c’est ici que j’ai découvert le Roti banana dont j’ai abusé tout le reste de mon voyage.

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Petit garçon de la famille du Restaurant 

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Rôti Banana avec Curry sauce

Pour les retours après une longue journée de farniente, il est possible de demander un lift par taxi boat.

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Aperçu durant le  retour en taxi boat 

Snorkling day : Requins et tortues

 

Pendant mon séjour, j’ai fait du snorkeling, vous pouvez trouver des snorklings tours à peu près dans tous les shop et hôtels du coin, ils proposent tous la même chose : short trip ( 3h) ou long Trip (5h, pour ma part, 3h c’était largement suffisant). J’ai pu voir un requin récif et j’ai aperçu la tête d’une tortue énorme.

Côté fond marins, j’étais triste de constater le grand nombre de coraux morts certainement du fait des touristes qui ont la fâcheuse tendance à se mettre debout sur les coraux… je tire mon chapeau à mon amie allemande, qui n’a pas hésité a réprimander une dame qui s’apprêtait à le faire.  Les paysages rocheux m’ont rappelé la baie d’Abel Tasman en Nouvelle Zélande.

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Les îles Perethian étaient ma première destination plage après la nouvelle Zélande.

Ce que je garde en mémoire  c’est que j’étais partie là-bas dans l’idée de m’isoler et de méditer toute seule, mais j’ai fait énormément de rencontres et je n’ai pas réussi à prendre le temps de le faire. Donc si vous hésitez à partir seul, vous trouverez toujours une dizaines de personnes avec qui vous aurez plaisir à faire un petit bout de chemin.

C’est aux Perethian que j’ai repris goût au dessin et depuis je n’ai pas arrêté merci Yvonne pour les cours 🙂

Mes conseils et adresses :

– Retirer de l’argent avant d’arriver sur l’île

– Pensez à avoir les 5MYR pour la taxe de conservation

Où Dormir ?

Matahari Chalet  : http://www.mataharichalet.com/

Pour les dorms j’ai pas testé mais d’après mes amis c’était correct : www.perhentiantropicana.com

Où manger ?

Ewan Cafe super rapport qualité prix, coté coral bay Perhentian Kecil

Pour regarder un film :

Ombak resort, coté coral bay Perhentian Kecil ( soirée ciné ) http://www.ombak.my/

 

Un dernier conseil : Book ton vol pour la Malaisie 🙂 tu attends quoi ?

En route vers Abel Tasman

05 Avr 2015 0 No tags Permalink

Road Trip partie 1 : En route vers Abel Tasman..

Le sud de la Nouvelle-Zélande n’est comparable à aucun paysage que j’ai pu voir jusqu’à présent..

Ses terres volcaniques offrent une richesse et une diversité qui font de ce pays un lieu si spécial. Le pays compte 4 millions d’habitants dont 3 millions habitent l’île Nord. Le Sud de l’île est donc un endroit paisible et peu dense. Il m’est arrivé de ne croiser personne pendant plusieurs dizaines de kilomètres.

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Le Road trip a commencé par le nord de l’île au départ de Christchurch. J’ai pris la route en direction du parc Abel Tasman, un lieu nommé en hommage au premier européen à avoir découvert les terres néo-zélandaise en 1642. De Christchurch à Abel Tasman les paysages sont d’une grande diversité. J’ai ainsi pu apprécier une ballade à travers une forêt sauvage digne du seigneur des anneaux, des paysages de vallées pleines de moutons en pâturage, une dégustation de vin sur un vignoble, des fruits en libre service au bord de la route. Puis je suis arrivée à cet endroit si particulier: le parc Abel Tasman. Si je devais personnifier ce lieu ca serait le fils rêvé de la Bretagne et de la Provence.

 

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Abel Tasman

Arrivée à heure de marée basse dans la baie d’Abel Tasman. J’ai pu me balader sur une centaine de mètres de la plage. J’ai vraiment apprécié ce moment. C’était calme et reposant après ces heures de route. Sur la plage, j’ai assisté à une vraie danse de crabes, j’avais oublié que ces bestioles étaient peureuses à ce point ! J’ai eu le loisir de ramasser des coquillages, le début d’une longue collection qui commence déjà à peser dans mon sac ☺

coquillage

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Mon set-up de camping se trouvait face à la mer, je ne pouvais pas rêver mieux . Je dois avouer que c’était un sacré coup de bol cet emplacement. Je le place dans le top 5 des campings de tout le roadtrip, si jamais vous passez par là, c’est le Totaranui camperground.

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campement

Une journée sportive

Le lendemain matin, j’ai embarqué sur un bateau accroché à un tracteur. Et oui, marrée basse oblige, il faut bien s’adapter. Le bateau nous a emmené au départ d’un trek. Estimé à 4H30. Dans le bateau il y avait quasiment que des familles pour la plupart avec des enfants en bas âge déjà entrainés pour un triathlon.

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Le bateau s’est approché de la côte pour nous montrer la fameuse Split Apple Rock. J’étais ravie car encore une fois je me suis retrouvée sur un lieu de mon board Pinterest tour du monde. Un sentiment d’accomplissement m’a envahi ☺, après quoi nous nous sommes arrêtés afin de saluer des otaries.

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Le bateau nous a déposé et j’ai emprunté le fameux chemin qui longe le littoral. Ce sentier relie un ensemble de criques plus belles les unes que les autres. Le temps est vraiment agréable dans cette région. On dit qu’il y a 2500 heures d’ensoleillement par année. Sur la route, j’ai croisé de nombreux backpackers qui étaient surement là pour faire la route complète ( 51 kilomètres) et poser leur campement.

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Il était prévu que je reste une seule nuit à Abel Tasman, mais après une journée de randonnée, je n’ai pas eu le courage de prendre la route, et puis bon il faisait quand même bon vivre dans ce Holiday park , il faut savoir apprécier le moment !

Le spot du deuxième soir était encore plus cool car en plus d’avoir une vue sur la mer, j’ai eu une balançoire rien que pour moi. Merci Abel Tasman Park !

 

Défis autour du monde pour l’association Rafamiray jeunes

21 Mar 2015 1 No tags Permalink

Avez-vous lu mon article sur Madagascar où je vous parle de Rafamiray Jeunes ? C’est une association qui oeuvre pour les jeunes malgaches d’Imerikanjaka. Depuis 2009, ils ont entre autres : contribué à la création un terrain de sport, envoyé un villageois malade dans un hôpital français sa maladie étant inopérable à Madagascar. C’est une association que j’admire beaucoup, je les ai vus en action et j’ai eu l’occasion de leur proposer mes services en tant que bénévole en Avril 2012.

J’aimerais les aider à nouveau, alors je me suis dit que les défis étaient une bonne idée.  Petit rappel, pour mes 30 ans mes amis m’ont donné une liste de défis à réaliser pendant mon voyage de 4 mois.  Je vais un peu changer les règles initiales afin d’aider L’association Rafamiray jeunes.

Chers amis, Chers lecteurs, je vous propose de me soumettre de nouveaux défis à réaliser en échange d’un don pour l’association Rafamiray.

1 don au profit de l’association Rafamiray jeunes = 1  nouveau défi 

C’est le moment de me suggérer vos défis les plus fous, dans la limite du réalisable… (Non, je ne me ferai pas enterrer vivante) !

A quoi ça va servir tout ça ? A me voir dans cet état la :

Samuel-baby

ou encore  comme ca :

kevin

Mais surtout vos dons pourront contribuer au développement socio-économique d’’Imerikanjaka.

Pour plus de détails, voici le contact de Marina la présidente de l’association. : mirayjeune(arobase)hotmail.fr

Raison sociale  : RAFAMIRAY JEUNES
Adresse : 26 RUE DES TOURNANFIS
94360 BRY SUR MARNE 
Date de création Crée le 10/12/2009
SIREN 524 052 065
SIRET 524 052 065 00017
Code APE / NAF 9499Z / Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire

Comment participer ?

1)Vous me donnez un défi dans les commentaires de cet article avec le montant de votre contribution.

2) J’accepte le défi ou pas.

3) Vous faites  don de votre contribution sur la Plateforme de collecte :  https://www.leetchi.com/c/association-de-rafamiray-jeunes

4) Je réalise le défi, en étant filmée, et je publie la vidéo sur ce blog, et sur ma page Facebook.

 

A l’issue de mon voyage . La totalité de l’argent récolté par les défis sera versée au profit de l’association Rafamiray jeunes.

Les îles Cook : Découverte de Rarotonga

05 Mar 2015 0 No tags Permalink

Mon séjour aux îles Cook a démarré de façon assez incroyable. J’ai décollé le 2 mars pour atterrir le 1er mars, en prenant 22h de décalage: J’ai bel et bien remonté le temps! Les îles Cook se trouvent au coeur de l’océan Pacifique Sud. C’est un archipel composé de 15 îles. J’ai choisi de visiter la principale: Rarotonga.

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Muri Lagoon Beach

J’ai séjourné à l’Aramengo GuestHouse, un endroit simple et chaleureux. Ce qui m’a le plus séduite : La douche directement dans le jardin. J’ai choisi cette guest house car elle donne directement sur le Muri Lagoon, le seul endroit de Raro où le lagon séparant l’île du récif coralien est de plus de 100m, donnant une eau turquoise incroyable, ce qui explique aussi la popularité du lieu. Dés le premier jour, j’ai profité de la plage et me suis reposée. Je rappelle qu’en 4 jours j’ai volé 36 h, et changé 3 fois de fuseau horaires. Quel bonheur de récupérer mes heures de sommeil sur une plage des îles du Pacifique Sud.

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Se déplacer à Rarotonga

Rarotonga fait 32 kilomètres de circonférence. Le moyen le plus pratique pour se déplacer est le scooter. Les plus courageux pourront tenter le vélo mais au vu de la chaleur étouffante, j’ai refusé de m’y essayer. Une location de scooter coûte 15$NZ jour, ce qui est plutôt correct.

Les plages du sud

Les plages du sud sont réputées pour être les plus belles de l’île. Il m’aura fallu un peu moins de 15 minutes pour trouver mon premier spot. Quelle surprise de voir qu’il n y a absolument personne sur les plages! Nous sommes en basse saison. Je plonge dans l’eau et tombe nez à nez avec une étoile de mer bleue ! Je suis bien au paradis.

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Visite d’Avarua

Arrivée à Avarua, la police fait un barrage et arrête tous les scooters. Il est 10h Du matin. Le policier me demande mes papiers. Il m’informe que sur les îles Cook il faut un permis de conduire supplémentaire qui s’obtient après un petit test et la modique somme de 20$, tout en me montrant la file de touristes en train de passer ledit examen.

Je lui précise que je suis pourtant en règle avec mon permis Français et international. Il me réponds que c’est « mandatory »….. Au vu de l’attente pour l’examen, je préfère me garer et continuer à pied en me disant que toutes façons le barrage de police disparaitra à l’heure de la pause déjeuner.. et j’avais raison 😉

 Le Musée

Le musée d’Avarua présente l’histoire de la ville l’origine des habitants. J’y apprends que les Îles Cook étaient auparavant un protectorat britannique avant de devenir une annexe de la Nouvelle Zélande. En 1965, elles devinrent indépendantes, tout en conservant des liens économiques avec la Nouvelle Zélande. J’y découvre aussi que les chefs des tribus locales sont toujours consultés pour les décisions politiques relatives aux îles Cook. Le musée donne sur un petit jardin que je trouve très paisible. Je souris d’ailleurs en voyant qu’il s’appelle Peace garden.

Prison et artisanat

J’ai cherché pendant tout le séjour à acheter un Ukulele, et après avoir fait la quasi totalité des boutiques de l’île, j’ai enfin trouvé ma perle rare dans une boutique bien particulière, celle de la Prison de Rarotonga. C’est un local qui m’a dirigé vers cet endroit. Ici les prisonniers fabriquent divers instruments à la main et commercialisent leur art. J’en suis ravie car c’est le plus joli Ukulele que j’ai vu à ce jour.

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Trek au cœur de l’île

Le trek débute au nord d’Avarua. On y trouve un espace d‘information avec une carte et un livret où inscrire son nom et l’heure de départ. Dès le début du trek, le décor est magnifique, la forêt est très humide, on y trouve des arbres centenaires recouverts de mousse verte, des lianes géantes et des fougères. Cet endroit a vraiment des allures de film style Avatar. Commence alors l’ascension vers le sommet (The Needle). La montée est assez raide, pour ne pas dire vraiment raide. Après 45 minutes, j’arrive au sommet et découvre un magnifique panorama sur l’île de Rarotonga, malheureusement obscurcit par de gros nuages. En descendant, je me fais surprendre par la pluie. Cela n’a pas facilité le reste du trek étant donné que le chemin s’est transformé en rivière rapide. Heureusement, la chaleur était au rendez vous, je n’ai donc pas eu froid. Ma principale erreur de débutante est d’avoir oublié mon kway à la guesthouse. La descente du sommet s’est donc faite en glissade avec de la boue et des traversées de rivière, mais le tout dans la bonne humeur.

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Repas et danse locale

Le temps d’une soirée, j’ai pu découvrir la gastronomie locale au cours d’un dîner organisé par un hôtel de Muri Lagoon. J’ai apprécié le Goat curry, les bananes en sauce et le chocolage fudge. Après avoir profité d’un copieux repas j’ai pu profiter d’un spectacle de danse locale. J’ai été impressionnée par le mouvement de hanches des danseuses de Rarontonga. Croyez-moi Shakira peux aller se rhabiller !

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Le reste du séjour s’est déroulé au rythme du snorkeling, des lectures et des pataugeades dans le lagon.

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Kia Orana!

Choisir une assurance de voyage tour du monde

11 Fév 2015 1 No tags Permalink

Assurez vous de n'avoir rien oublié?

Si vous atterrissez sur cette page c’est que vous êtes au cœur de vos préparatifs de voyage… Je dois avouer que la partie assurance n’est pas une mince affaire. Je vais essayer de vous livrer mon ressenti pour vous aider dans votre choix.

Prendre une assurance fait partie du budget tour du monde, à mon sens on ne peut pas y échapper si on veut partir l’esprit tranquille 🙂

Que choisir pour un long voyage ?

Tout d’abord il faut savoir que selon votre carte de crédit vous bénéficiez certainement déjà d’une couverture. Pour ma part j’ai utilisé une American express pour régler mon billet d’avion tour du monde.

Avec ma carte je bénéficie des garanties suivantes :

  • Assurance retard d’avion : 500 $
  • Assurance bagages mal acheminés : 500 $
  • Assurance perte ou vol de bagages: 500 $
  • Assurance contre le cambriolage à l’hôtel allant jusqu’à 500 $

Sachez aussi que pour les assurances de location de voitures, avec Amex vous êtes couverts à hauteur de 75 000$ en cas de dommages sur le véhicule.  Il est donc pas nécessaire de souscrire aux assurances supplémentaires proposées par les agences de location.

Voyage de moins de 3 mois : VISA

Coté Visa vous êtes couverts sous 90 jours soit 3 mois pour l’assurance voyage :

Le titulaire de la carte et sa famille sont couverts pour tout déplacement d’une durée inférieure à 90 jours, sans condition d’utilisation de la carte :

  • en cas de maladies ou de blessures ;
  • en cas de poursuites judiciaires à l’étranger ;
  • en cas de décès.

Renseignez vous auprès de vos institutions bancaires !

Mon assurance tour du monde

Pour ma part après avoir étudié les conditions de mes cartes j’ai opté quand même pour une solution « all inclusive », et oui on n’est jamais trop prudent 🙂

Mes impératifs d’une assurance voyage :

  • Mon corps doit pouvoir être rapatrié (en une pièce si possible ) à ma famille
  • Si un malandrin décide de dérober mes affaires, je dois pouvoir me racheter de quoi
  • Si jamais je dois passer une ou plusieurs journées dans un hôpital je dois être couverte pour les frais.
  • Et si encore le même malandrin ou un de ses amis me dérobe ma bourse, je veux pouvoir avoir une avance de fonds pour survivre !

Pour faire mon choix j’ai passé quelques heures à fouiner sur le net, les blogs, les forums, et j’ai ensuite fait un double check avec un comparateur.

Au cours de mon PVT au Québec. J’avais souscrit une assurance chez ACS (Globe Partner) Il me semble que c’est la moins coûteuse pour une couverture autour du monde. Mais le vol de bagages n’est pas inclus:/

C’est finalement vers Chapka Assurances que je me suis tournée, ils proposent une couverture intéressante pour les voyages de plus de 90 jours. Il s’agit du pack Cap aventure. Les garanties incluses sont plus qu’au delà de mes espérances et le tarif est correct.

garanties

Au total je m’en sors pour 250 euros pour la durée de voyage, et je pars surtout avec l’esprit tranquille !

Sur ce je vous souhaite bien du courage et un bon voyage !!!!